Vieux livres sur une étagère.
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Le prix de l’imaginaire… ou la course folle !

Après l’écriture, vient un nouveau parcours du combattant, la publication. Mais entre les deux, il y a une petite chose, toute petite, presque insignifiante… on appelle ça les corrections !

Presque rien, juste 230 pages à étudier, lire, puis relire à voix haute à la recherche des maladresses, des répétitions (nombreuses), des phrases trop longues ou mal tournées (surtout trop longues, une adepte des phrases de trois lignes à multiples virgules ? Qui ça, moi ?) et des fautes d’orthographe qui m’auraient encore échappées (ça aussi, il y en a !).

A raison de 2 à 3 pages de l’heure ça donne… je vous laisse calculer !

Et pourtant, le 15 février se trouve la deadline ! Car le 15 février est le dernier jour pour participer au Prix de l’imaginaire organisé par France Loisir. Qu’est ce que c’est ? Un concours organisé par la maison d’édition de France Loisir : Nouvelle plume. Un concours réservé aux jeunes auteurs inconnus et aux romans fantastique, fantasy et jeunes adultes. Pile dedans !

nouvelles plumes

Qu’est ce qu’on gagne? Une publication. France Loisir, ce n’est pas la panacée. Ils ont des pratiques commerciales particulières et un système d’exclusivité qui refroidit un peu… mais France Loisir, ben c’est France Loisir ! Avec un catalogue de plus en plus tourné vers la SFFF (Science Fiction Fantastique Fantasy). Alors quand l’idée de base était la publication à droit d’auteur (vous savez ? Ces maisons d’éditions qui vous demandent de payer pour être publié, et n’en ont donc ensuite plus rien à faire de vendre votre livre ? On appelle aussi ça une arnaque !). Ben voilà.

Je ne dit pas que les publications à droits d’auteurs ne restent pas une option pour moi, même si elles sont de plus en plus dénoncées. Mais une publication chez eux, c’est pire qu’aucune publication, c’est se griller dans le milieu, enfin, c’est en tout cas ce que j’ai entendu ! Alors avant de foncer comme la tête de mule que je suis, eh bien je vais tenter ma chance ailleurs. Même si c’est plus difficile et plus long. Pas parce que je ne veux pas payer, mais parce qu’être édité pour de vrai, c’est quand même pas pareil.

Bref, me voilà donc rendue dans une course folle. Une deadline au 15 février, c’est 9 pages de correction par jour, 7 jours sur 7. Je vous laisse calculer !

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